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La pandémie a mis en avant l'outil informatique confortant l'idée que le télétravail puisse devenir un standard de l'activité au quotidien, plus de serveurs, plus de débits et l'arrivée de la 5 G mettent à mal l'empreinte numérique, une trace indélébile sur l'équilibre des énergies, les objets connectés dépassent désormais le nombre de smartphones, 2 milliards de mobiles intelligents et une explosion toujours croissante du connecté, en 2021 tout se connecte, de l'éclairage à la brosse à dent avec une demande inexorable de data et de consommations électriques.
Un paradoxe de la technologie censé rendre des services à l'urbanisme, réduire les consommations des habitations. . . Tout en demandant plus. Si rien n'est fait d'ici 2040 l'empreinte numérique pourrait atteindre 7 à 8 % de l'impact planétaire dépassant de loin la pollution automobile estimée à 4 % .
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Les batteries des véhicules électriques devront se trouver une place sur terre (ou sous terre ! ) , de la cadmium ultra toxique à la Lithium dont l'industrie ne maîtrise pas toute la chaine de recyclage, d'ici quelques années il sera difficile de caser "votre pile" de 1250 Kg en déchetterie ! Pas franchement écolo. . .
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